Durant deux jours, les 29 et 30 janvier 2015, la Faculté Victor Segalen invitait chercheurs et spécialistes à examiner l’ordre géopolitique. L’objectif : contextualiser la notion de frontière. Car celle-ci, toujours mouvante, reste en constante redéfinition, elle n’est pas une réalité figée : plus de 10 % des frontières internationales actuelles ont moins d’un quart de siècle d’existence !
Affichant les avancées les plus récentes sur cette question, les intervenants présents durant la manifestation démontrent ainsi que la frontière peut jouer différents rôles, entre coupure et trait d’union paradoxal. Quand la frontière devient de moins en moins floue…
Avec les interventions de Michel Foucher (géographe, diplomate, ancien ambassadeur de France en Lettonie et professeur des universités), Daniel Nordmann (directeur de rechercher émérite au CNRS), Michel Bacchus (ingénieur en chef honoraire des Ponts, des eaux et des forêts), Laura Margueritte (cartographe au magazine Carto), Linda Gardelle (enseignante-chercheuse à l’Ensta Bretagne), Isabelle Damiani (Cemotev), Cécile Vaissié (professeure des universités à Rennes II), Anaïk Pian (maître de conférence à l’université de Strasbourg), Antoine Mégie (maître de conférence à l’université de Rouen), Véronique Bontemps (chercheuse au CNRS, Laboratoire d’anthropologie urbaine).
Tracer la frontière (1/4) Michel Foucher
Tracer la frontière (2/4) Daniel Nordmann
Tracer la frontière (3/4) Michel Bacchus
Tracer la frontière (4/4) Laura Margueritte
Les forces centrifuges (1/3) Linda Gardelle
Les forces centrifuges (2/3) Isabelle Damiani
Les forces centrifuges (3/3) Cécile Vaissié
Dépasser et franchir les frontières (1/3) Anaïk Pian
Dépasser et franchir les frontières (2/3) Antoine Megie
Dépasser et franchir les frontières (3/3) Véronique Bontemps