Ses contes disent les grands espaces, les coureurs des bois, les loups garous, le froid mordant et la vie qui passe. François Lavallée nous parle de l’imaginaire québécois, du conte comme espace de rencontre et comme célébration de la vie. Rencontre avec un « forgeron de menteries » pour qui les histoires vivent au rythme du souffle et des cœurs qui battent à l’unisson.
Par Virginie De Rocquigny