
1 h 49 - Récits d'expériences d'une journaliste, d'un sauveteur, d'une responsable de SOS Méditerranée et d'un migrant, à bord de l'Aquarius, navire qui à ce jour, a porté secours à près de 28 000 personnes.
Dire un mot pour la paix au Moyen-Orient

5 min 20 - 2018
Mercredi 28 mars 2018, à 18 h, une vingtaine de personnes s'est recueillie au pied du monument aux Morts, près de la place de la Liberté à Brest. Imad, originaire de la Ghouta orientale, s'apprête à prendre la parole.
“Nous sommes” de la Cie Jeanne Simone : une présence au monde

22 min 40 – Festival DañsFabrik 2018
Rencontre avec la compagnie Jeanne Simone, sa chorégraphe Laure Terrier et un de ses interprètes Mathias Forge.
Serrenhos du Caldeirão de Vera Mantero : vrai ou faux ?

25 min 35 - DañsFabrik 2018
Rencontre avec Vera Mantero, figure majeure de la danse portugaise. C'est dans un déluge d’étonnements et de rires que la chorégraphe a répondu aux ressentis de notre spectatrice de "Les Serrenhos du Caldeirão, exercices en anthropologie fictionnelle".
Carole Perdereau – Ouest et West

22 min 32 - DañsFabrik 2018
Mi-mars 2018, à Passerelle, Carole Perdereau et ses danseurs ont offert une pièce étrange nommée Ouest. En partant de la description du spectacle, notre bénévole Marie-Michèle Lucas s'est entretenue avec la chorégraphe à la voix claire, profonde et limpide.
Ici, Ensemble ! avec Lynda Baril

29 min 51 - 2017
Reportage sur la manœuvre Ici, Ensemble ! de l’artiste québécoise Lynda Baril.
Philippe Torreton

Après François Morel en février dernier, c’est au tour de Philippe Torreton de remplir l’auditorium des Capucins d’un public gonflé d’interrogations brulantes.
Cette nouvelle rencontre est une fusion de deux initiatives : “Les livres de…”, questionnaire littéraire pensé par l’équipe de la médiathèque, et les “Paroles d’interprètes” du Quartz, animées par Jean-Yves Crochemore.
Une heure de conversations à bâtons rompus, à l’heure du déjeuner, avec des artistes qui font l’actualité locale, en l’occurrence autour de La résistible ascension d’Arturo Ui.
Enregistré le 30 mars 2017 à l’Auditorium des Capucins, organisé avec la médiathèque François Mitterrand de Brest.
Johanni Curtet et son atelier aux multiples voix

Au lendemain du spectaculaire et enchanteur concert de Khusugtun au Quartz, l’ethnomusicologue Johanni Curtet proposait une masterclass autour du chant diphonique mongol, le khöömii.
En une matinée, la vingtaine de chanceux présents a aperçu par la théorie puis la pratique le complexe art du chant “à deux voix ou plus”.
L’occasion pour nous de glisser un micro entre le maître et les élèves.
un atelier organisé par le Festival NoBorder et l’association DROM, enregistré au Centre Breton d’Art Populaire à Brest le 10 décembre 2016.
Gigi Bigot : La force de la parole symbolique

Gigi Bigot était au Vauban mardi 22 novembre non pas seulement pour y raconter des histoires mais pour une conférence. Parce que oui, après 20 ans de créations et de conte, Gigi Bigot est redevenue étudiante. Elle a entamé une recherche universitaire sur une question mystérieuse, entre autres : le pouvoir de la parole symbolique sur les gens. Oufipo a récolté la parole pétillante de l’étudiante et conteuse de Redon. Un entretien qui ne laisse pas de marbre…
Les bronzées au Moulin Blanc

Chroniques brestivales 2015. La crème solaire, c'est pas en perfusion. Au Moulin Blanc, il y a des femmes qui bronzent. Elles sont là, elles parlent dans Oufipo. Ecoute.
première semaine (été 2015)

Chroniques brestivales 2015, première semaine. Cordeau, choriste, corrélation, encore, Corinne, accord, coriandre, pécore : les corps sont sondés dans ces chroniques d'un été.
deuxième semaine (été 2015)

Chroniques brestivales 2015, deuxième semaine : plongée dans la torréfaction, l'humidification, la solidification, la liquéfaction, l'onction, l'ulcération, la dissimulation, la protection, la divulgation des corps à Brest l'été.
Première semaine

Chroniques brestivales 2014. La nuit tombe tard, très tard. On ne sait jamais maintenant si on aura envie de rester tard. Sur un malentendu, la pêche pourrait bien être bonne. Qui s'ennuie à Brest ?
Christophe Miossec

On ne le présente plus… ainsi commencent tous les articles brestois sur Christophe Miossec. Eh bien, à Oufipo non plus, on ne le présente plus, mais c’est pour mieux le laisser se présenter lui-même, en lui donnant le temps qu’il faut pour ça.
Ainsi fut l’esprit de la deuxième rencontre Oufipo, qui se tenait en direct et en public de la médiathèque Saint-Marc le 18 avril 2014.
À quelques semaines de la sortie de son nouvel album Ici-bas, Ici même, Christophe Miossec a accepté de venir rencontrer son public pour une interview au long cours.
À l’heure du « bilan de carrière », il est revenu sur une vie quasi-romanesque où toutes les pérégrinations peuvent nourrir un travail au multiples facettes ; Christophe Miossec s’est longtemps vu comme un imposteur dans le rôle de chanteur. À présent qu’il semble avoir trouvé sa place, il ne s’y laisse pas enfermer. Écrivain, musicien, poète, les champs sont larges, et le personnage complexe.
Une interview tout en petites touches de parole, où interviewé et intervieweur se renvoient la balle et racontent ensemble la vie de cet artiste discret mais marquant.
1 – Les débuts
2 – La maturation
3 – Le retour au pays – la poésie
Chroniques [Br]estivales 2012 : Se nourrir

Chroniques brestivales 2012. L'inclinaison n'est pas totale, mais on est quand même bien allongé. Transat ? Hamac ? Canapé ? Rocking-chair ? Rooftop ? Carrelage ? Serviette de plage ?
Chroniques [Br]estivales 2012 : Se reposer

Chroniques brestivales 2012. Quelle est la différence entre un touriste et un Brestois, sachant que les deux mangent des galettes ? La saison, c'est là où on apprend, où on se met au parfum.
Chroniques [Br]estivales 2008 : aimer

Chroniques brestivales 2008. Retour chez Noureddine où il reste encore des choses à entendre. Sous le ciel la mer. L'été, c'est plutôt fait pour aimer. Et aussi le reste de l'année.
Chroniques [Br]estivales 2008 : Travailler

Chroniques brestivales 2008. Qui marche au hasard des sentiers côtiers finit par récolter la tempête. Promenons où ? L'été, ce n'est pas fait pour travailler. Ni d'ailleurs le reste de l'année.