Rencontre avec Ariane Chemin

1 h 15 - Longueur d'ondes 2022

À quoi reconnaît-on un.e journaliste ? À sa manière d’essayer de distinguer le vrai du faux, à la quête de la nuance. Entretien avec une des grand reporter au journal "Le Monde".

PV : Omar Ouahmane

11 min 17 - Festival Longueur d'ondes 2019

Contrairement à ce qu'on aurait pu croire, le plus beau coucher de soleil auquel Omar Ouahmane ait assisté n'a pas eu lieu au Moyen-Orient, mais à Grenoble.

De par le monde avec les grands reporters : Vanessa Descouraux et Edith Bouvier

1 h 29 – Festival Longueur d’ondes 2016

« Dès que j’ai pu, je suis partie à l’étranger », c’est une affirmation qu’Edith Bouvier (RFI) partage avec son alter ego le temps d’une rencontre, Vanessa Descouraux (France Inter). L’une comme l’autre ont voulu partir pour comprendre les causes et enjeux des conflits mondiaux, leur donner du sens et informer les auditeurs. Elles ont appris à laisser « la peur, cette désagréable compagne de voyage derrière [elles] » pour se confronter aux évènements malgré les obstacles et les risques. Le temps d’une séance au festival Longueur d’ondes, ces femmes passionnées ont donné aux spectateurs l’occasion de partager un quotidien d’aventures et de périls mais aussi de rencontres exceptionnelles.

Claude Guibal et Stéphanie Braquehais : Grands reporters au féminin

1 h 17 – Festival Longueur d’ondes 2014

Dimanche 16 février, Longueur d’ondes invitait deux figures du reportage. Deux femmes aux parcours similaires, situées à des endroits différents du monde, des lieux où l’actualité est brûlante. Elles se sont lancées dans l’inconnu du grand reportage par une succession de hasards. Toutes deux issues de l’école de journalisme de Lille, elles deviennent correspondantes pour différents médias puis pour la radio. Claude Guibal est la voix du Proche-Orient pour Radio France, aujourd’hui chef du service international à France Culture. Stéphanie Braquehais a été la voix de l’Afrique de l’Est pour RFI, longtemps correspondante au Tchad et désormais basée au Kenya. Poussées par le “plaisir fou” du reportage, elles travaillent souvent au fil des contraintes financières et de confort. Mais qui a dit que le métier de grand reporter était facile ? En tout cas, ces deux femmes ne perdent rien à aller voir et ressentir ce qu’il se passe “là-bas”.